Debout la République 11ème Circonscription du Pas de Calais - -Hénin Beaumont - Carvin

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Créé le : 27/07/2008 15:06
Modifié : 18/03/2012 16:44

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"Discours pour la France", tout était dit...

07/01/2010 12:38



Retrouvez le "Discours pour la France" prononcé par Philippe Séguin le 5 mai 1992 à la tribune de l'Assemblée Nationale, plaidoyer vibrant et prophétique en faveur d'une Europe des Nations où la France conserve sa personnalité.
"Oui, nous voulons l'Europe, mais debout, parce que c'est debout qu'on écrit l'histoire !", concluait-il en substance.
Discours prononcé par M. Philippe Séguin 5 mai 1992
(exception d’irrecevabilité en application de l’article 91, alinéa 4, du Règlement)
Transferts de compétences nécessaires à l’établissement de l’Union économique et monétaire européenne (en vue de l’application du traité de Maastricht)
Monsieur le président, madame, messieurs les ministres, mes chers collègues, je voudrais croire que nous sommes tous d’accord au moins sur un point : l’exceptionnelle importance, l’importance fondamentale du choix auquel nous sommes confrontés, et, ce disant, je n’ai pas l’impression de me payer de mots !
C’est en tout cas avec gravité que je viens inviter cette assemblée à opposer l’exception d’irrecevabilité au projet de loi constitutionnelle que le Gouvernement nous présente comme préalable à la ratification des accords de Maastricht négociés le 10 décembre 1991 par les chefs d’État et de gouvernement des pays membres des communautés européennes et signés le 7 février dernier.
Mon irrecevabilité se fonde sur le fait que le projet de loi viole, de façon flagrante, le principe en vertu duquel la souveraineté nationale est inaliénable et imprescriptible, ainsi que le principe de la séparation des pouvoirs, en dehors duquel une société doit être considérée comme dépourvue de Constitution .
il existe en effet, au-dessus même de la charte constitutionnelle, des droits naturels, inaliénables et sacrés, à savoir pour nous les droits de l’homme et du citoyen tels qu’Ils ont été définis par la Déclaration de 1789. Et quand l’article 3 de la Constitution du 4 octobre 1958 rappelle que « La souveraineté nationale appartient au peuple », il ne fait que reconnaître le pacte originel qui est, depuis plus de deux cents ans, le fondement de notre État de droit. Nulle assemblée ne saurait donc accepter de violer délibérément ce pacte fondamental.
La question de la séparation des pouvoirs se pose dans les mêmes termes. Aucune assemblée n’a compétence pour se dessaisir de son pouvoir législatif par une loi d’habilitation générale, dépourvue de toute condition précise quant à sa durée et à sa finalité. A fortiori, aucune assemblée ne peut déléguer un pouvoir qu’elle n’exerce qu’au nom du peuple. Or, le projet de loi qui nous est soumis comporte bien une habilitation d’une généralité telle qu’elle peut être assimilée à un blanc-seing.
Et nous voilà confrontés à une situation tout à fait extraordinaire dans notre histoire constitutionnelle puisque, pour la première fois, on demande au Parlement de constitutionnaliser par avance des textes qui n’existent pas encore et qui, pour la plupart, ne seront même pas soumis à ratification dès lors qu’il s’agira de normes communautaires directement applicables. On demande donc au Parlement, qui n’en a pas le droit, rien de moins que d’abandonner sa compétence législative aux organes communautaires chaque fois que ceux-ci le jugeront nécessaire pour l’application du traité.
Ayant fait référence à la Déclaration des droits de l’homme et du citoyen, violée deux fois par le projet de loi, je pourrais considérer ma tâche comme accomplie. Néanmoins, tout en conservant présente à l’esprit cette observation préalable qui sous-entend tout mon propos, j’entends traiter le sujet en ne négligeant aucune de ses composantes. Ce n’est pas mon fait si le débat constitutionnel et le débat sur l’avenir européen sont étroitement imbriqués, le projet de révision venant avant le projet de ratification. Alors, autant en convenir déjà entre nous - et vous l’avez déjà fait implicitement cet après-midi, messieurs les ministres : il n’y a en vérité qu’un seul débat qui ne peut être découpé en tranches successives. Et comme ce débat sera clos dès lors que nous nous serons prononcés sur le projet de révision constitutionnelle, autant l’entamer tout de suite et dans sa totalité.
De même, et sans vouloir verser dans un manichéisme que je réprouve, il nous faut également convenir qu’il n’y a rien à amender. Plutôt que de procéder à un toilettage minutieux de nombreuses dispositions constitutionnelles, vous avez préféré pratiquer une sorte de « lessivage à grande eau ». A ce qui aurait pu passer pour une naïveté coupable, vous avez ainsi préféré le risque de l’astuce. Il est vrai que sinon vous auriez été contraints de modifier neuf articles au moins du texte constitutionnel, dont certains sont particulièrement sensibles et symboliques. Vous auriez été contraints, de surcroît et en toute logique, de déconstitutionnaliser la Déclaration des droits de l’homme et du citoyen. Vous avez reculé, et l’on vous comprend, au point d’ailleurs d’esquiver vos responsabilités dans la dénomination même du projet qui nous est soumis. Il ne s’agit même pas, si je m’en tiens à son libellé, d’un projet de loi de révision, mais d’un projet de loi constitutionnelle ajoutant à la Constitution un titre supplémentaire.
Retrouvez l’intégralité de ce discours
Retrouvez la vidéo





Réaction de DLR à la disparition de Philippe SEGUIN

07/01/2010 12:29

Réaction de DLR à la disparition de Philippe SEGUIN


NDA salue un "géant", un "vrai gaulliste, qui nous manquera énormément".
COMMUNIQUE DE PRESSE
Mort d’un géant
Je viens d’apprendre la mort de Philippe SEGUIN. Je suis profondément triste car c’était un géant. Un homme d’Etat plus qu’un homme politique.
Il aimait passionnément la France, respectait par-dessus tout l’Etat et ne supportait pas les médiocrités courantes de la vie politique.
Son caractère était à la mesure de son exigence envers lui-même comme envers les autres. Il avait un grand cœur et était d’une extrême sensibilité.
Il avait l’étoffe d’un Président de la République mais, malheureusement pour la France, ce ne fut pas son destin.
Comme vrai gaulliste, il nous manquera énormément.
 
Nicolas DUPONT-AIGNAN Député de l’Essonne Président du rassemblement gaulliste Debout la République





Condoléances

07/01/2010 09:43

Condoléances


Philippe Séguin, Président de la cour des comptes, Sénateur des Hauts de Seine, ancien président de l'Assemblée Nationale est décédé ce matin des suites d'une crise cardiaque.
DLR 14ème circonscription du Pas de Calais lui rend hommage. Nous regrettons déjà ce grand gaulliste passionné, pétris de culture républicaine et emprunt d'une trés haute idée de la Nation.
Nous adressons nos plus sincères condoléances à toute sa famille ainsi qu'à ses proches.
Le comité local DLR


Commentaire de cimares (07/01/2010 10:21) :

Voilà un authentique homme d'Etat qui disparaît. Il n'avait cure de ce que l'on pouvait lui reprocher, mais savait convaincre et était doté d'une solide conviction de la notion d'Autorité publique et de ce que cela nécessitait comme exigence tant à l'égard des autres que de lui-même. On se souviendra de son caractère ombrageux qui avait pour immense avantage de lui permettre de s'opposer, y compris à son propre camp, quand il estimait que les règles de la République n'étaient plus respectées. On savait aussi son humilité: je me souviens d'un débat télévisé avec l'abbé Pierre durant lequel ce dernier avait fait baisser la tête à l'ensemble de la classe politique: l'attitude de Philippe Seguin était revêtue d'une dignité certaine et pleine d'humilité: c'est cette image là que je garderai de lui. Sur le plan politique, sa disparition va arranger certains qui trouvent la Cour des comptes bien encombrante. Et pourtant, il s'agit d'une institution de la République qui mériterait certainement voir son pouvoir amélioré quand on sait ce que certains politiciens en font... Et à Hénin Beaumont, on sait ce que cela signifie. Allons sur le site de la Cour des Comptes: en cliquant sur la CRC du Nord Pas de Calais, nous y découvrirons foultitude de dossiers intéressants sur le conseil général, le conseil régional, les collectivités, leurs établissements publics, les organismes HLM... Les yeux et les esprits peuvent ainsi s'ouvrir... et les croyances s'évanouir !





Nicolas Dupont-Aignan, l'invité de Guillaume Durand

07/01/2010 09:38

Nicolas Dupont-Aignan, l'invité de Guillaume Durand


http://www.dailymotion.com/video/xbre06_nicolas-dupontaignan-linvite-de-gui_news




DLR pour l’interdiction de la burqa en France

06/01/2010 12:31

DLR pour l’interdiction de la burqa en France


Interrogé par Guillaume Durand sur Radio Classique, NDA a réitéré son soutien complet à une loi interdisant le port de la burqa dans l'espace public, insistant à nouveau sur la différence entre l'islam et cette coutume "barbare", dégradante pour les femmes.
Voile intégral : "on interdit la burqa, point barre !" (Dupont-Aignan)
06/01/2010 10h57 GMT - RELIGION-ISLAM-FEMMES-PARTIS-DROITE - Nouvelles de France - AFP PARIS, 6 janvier 2010 (AFP)
 - Nicolas Dupont-Aignan, président de Debout la République, a estimé mercredi sur Radio Classique qu’il fallait "interdire la burqa, point barre", jugeant que le port du voile intégral était "une coutume barbare, une prison pour les femmes".
"L’affaire de la burqa, ce n’est pas une affaire religieuse. C’est une coutume barbare, une prison pour les femmes", a déclaré le député, en soulignant que la France avait interdit "le lancer de nain".
"On n’autorise pas une femme avec une muselière se balader toute nue dans la rue. C’est une prison, c’est une atteinte à la dignité, c’est tout. A partir de ce moment là, le monde politique français doit savoir ce qu’il veut", s’est exclamé M. Dupont-Aignan.
Pour lui, "c’est simple, on interdit la burqa, point barre. C’est tout".
Il a fait valoir qu’il était dans "l’intérêt des musulmans de France de comprendre qu’il ne faut pas assimiler la burqa à la religion musulmane". "Cela n’a rien à voir".
Il a estimé en outre que ce n’était "pas l’intérêt de notre pays de traîner ce débat pendant des mois, de l’instrumentaliser".





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